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Ancienne mairie1 document(s).
Ancienne Mairie - 19 quai Royal
En 1841, la ville de Puteaux construit sa première véritable mairie. Le bâtiment, devenu vêtuste, est reconstruit au même emplacement en 1856.
Pour en savoir plus : Article historique
Ancienne mairie de Puteaux, carte postale, début du XXe siècle, AMP, 2Fi1524.
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Boulevard Richard Wallace 2 document(s).
Ancien boulevard
C’est la plus grande avenue de Puteaux, elle mesure près de 790 mètres. Le boulevard est rebaptisé en 1890 en l’honneur du bienfaiteur anglais alors que la rue étroite évolue progressivement vers la grande rue d’aujourd’hui.
Boulevard Richard Wallace, en haut des marches et du boulevard, début XXe siècle, 2Fi1730, Archives de Puteaux.
Boulevard aujourd'hui
Boulevard Richard Wallace, en haut des marches au-dessous des rails, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Boulevard Richard Wallace depuis le pont de Puteaux2 document(s).
Vue du boulevard hier
Au début du XXe siècle, la mairie se trouve à l’entrée du boulevard Richard Wallace, au niveau du pont de Puteaux. Le tramway passe juste devant. L’endroit est alors, comme aujourd’hui, un lieu de forte circulation.
Entrée du pont de Puteaux vers le boulevard Richard Wallace, photographie F. Testard, début du XXe siècle, 2Fi1273, Archives de Puteaux.
Vue du boulevard aujourd'hui
Entrée du pont de Puteaux vers le boulevard Richard Wallace, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Château de Puteaux1 document(s).
Château de Puteaux - rue Ampère
En savoir plus : article historique
Château de Puteaux, peinture d'Auguste Durst, vers 1880, AMP.
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Croisement de la rue Victor Hugo et du boulevard Richard Wallace2 document(s).
Ancien croisement
Ancienne sente des Sablons la rue Victor Hugo s’étend de la rue des Bas-Rogers, frontière avec Suresnes, et la rue Chantecoq. La rue est renommée en l’honneur du célèbre écrivain en 1902.
Rue Victor Hugo au croisement avec le boulevard Richard Wallace, début du XXe siècle, 2Fi814, Archives de Puteaux.
Croisement aujourd'hui
Rue Victor Hugo au croisement avec le boulevard Richard Wallace, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Croisement des rues Auguste Blanche et Parmentier2 document(s).
Ancien croisement
La rue Auguste Blanche, auparavant appelée rue de Nanterre, est l’une des plus vieilles voies de Puteaux. Une première partie de la rue Parmentier est ouverte dans les années 1860 entre les quais et la rue Voltaire. La deuxième partie, qui rejoint la rue Auguste Blanche, est tracée une dizaine d’années plus tard.
Rue Auguste Blanche et rue Parmentier, début du XXe siècle, 2Fi040, Archives de Puteaux.
Croisement aujourd'hui
Angle des rues Auguste Blanche et Parmentier, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Ecole Parmentier - Rue Parmentier2 document(s).
Ecole Parmentier
Dans les années 1880, la ville installe une école de garçons dans un immeuble de la rue de Nanterre (aujourd’hui rue Auguste Blanche). Des terrains sont ensuite acquis au niveau de la rue Parmentier pour agrandir l’école. Celle-ci est inaugurée en 1904. Elle est ensuite à nouveau successivement agrandie pour accueillir des classes de maternelles.
L’école de la rue Parmentier, éditions G.I. Paris, début du XXe siècle, 2Fi409, Archives de Puteaux.
Ecole Parmentier aujourd'hui
L’école de la rue Parmentier, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Eglise Notre-Dame-de-Pitié1 document(s).
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Hôtel de Ville1 document(s).
Hôtel de Ville - 131 rue de la République
L'ancienne mairie étant devenue trop petite, la municipalité décide de construire un nouvel hôtel de ville. Le projet est confié aux frères Niermans. Le bâtiment est inauguré en 1934.
Pour en savoir plus : [lien en construction]
Hôtel de Ville de Puteaux, carte postale, années 1930, AMP, 2Fi325.
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L'Arsenal2 document(s).
L'Arsenal
La « Fabrique de matériels destinés aux établissements militaires » s’installe à Puteaux aux 6-8 quai National dès 1866. Elle est achetée par l’État vers 1873 et devient dès lors l’Arsenal. L’usine s’étend entre les rues Parmentier, Voltaire, Francis de Pressensé et le quai. Elle fonctionne jusqu’en 1964. Les bâtiments sont démolis dans les années 1980 pour laisser place notamment à des habitations.
Entrée principale de l’Arsenal, photographie E. Malcuit, début XXe siècle, 2Fi613, Archives de Puteaux.
Emplacement actuel de l'ancienne usine (disparue)
Ancien emplacement de l’Arsenal depuis le quai De Dion-Bouton, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Les cinq arches2 document(s).
Octrois de Puteaux et de Suresnes
La ligne de train entre la gare de Saint-Lazare à Paris et celle de Versailles ouvre dès 1839. C’est l’une des premières voies de chemin de fer. Les rails passent par-dessus la rue des Bas-Rogers grâce à un pont en pierre de cinq arches. C'est à ce niveau que se trouve également l'octroi de Puteaux. Aujourd’hui, la ligne de Versailles est toujours en activité.
Les cinq arches de Puteaux, photographie P. Marmuse, début du XXe siècle, 2Fi519, Archives de Puteaux.
Les cinq arches aujourd'hui
Le pont ferroviaire de la rue des Bas-Rogers, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Moulin de Chantecoq2 document(s).
Ancien moulin
Il s’agit du plus vieux Moulin des Hauts de Seine encore debout aujourd’hui. Il est en activité dès 1648, d'abord comme propriété des abbés de Saint-Denis puis des religieuses de la Maison royale de Saint-Louis à Saint-Cyr-les Versailles. A la révolution, le moulin devient bien national et propriété de la ville de Puteaux. Il est progressivement abandonné à partir de 1820 et jusqu’à l’installation de la société Lorilleux entre 1823 et 1979, date à laquelle il redevient propriété municipale. Après restauration en 1990, il est transformé en une annexe du conservatoire.
Parc de Chantecoq, dessin M. Barré et J. Dayoz, 1944, 2Fi514, Archives de Puteaux.
Moulin de Chantecoq aujourd'hui
Parc de Chantecoq, photographie Mairie de Puteaux, 2021.
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Ouest-Lumière2 document(s).
Usine Ouest-Lumière
La compagnie d’électricité Ouest-Lumière s’installe à Puteaux au 3 quai National en 1900. Le courant produit est vendu aux communes de Puteaux, Courbevoie, Neuilly, Levallois, Boulogne, Saint-Cloud, Garches, Sèvres, Ville-d’Avray, Marnes, Meudon et Chaville. En 1946, la compagnie est nationalisée au profit d’EDF (Électricité de France). Aujourd’hui, un ensemble immobilier a notamment été construit sur les anciennes parcelles d’Ouest-Lumière.
Entrée de l’usine Ouest-Lumière, photographie F. Testard, début du XXe siècle, 2Fi618, Archives de Puteaux.
Le quai aujourd'hui
Ancien emplacement d’Ouest-Lumière depuis le quai De Dion-Bouton, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Place Simone et Antoine Veil2 document(s).
Place du Marché
Ancienne place de la Croix sur les premiers plans du village de 1669, elle est renommée place du Marché dans les années 1850 avec l’instauration des premiers marchés en 1854. Elle est ensuite rebaptisée Place Stalingrad en l’honneur de la bataille de la Seconde Guerre mondiale, puis place Simone et Antoine Veil.
Place du Marché, vue sur la rue Marius Jacotot, début du XXe siècle, 2Fi1016, Archives de Puteaux.
Place aujourd'hui
Place Simone et Antoine Veil, vue sur la rue Marius Jacotot, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Pont de Puteaux2 document(s).
L'ancien pont
Le pont de Puteaux est construit en 1895. D’une longueur de 356 mètres, il est en pierre avec une armature en fer et un garde-corps en fonte. A partir des années 1970, le pont devient obsolète face à l’augmentation de la circulation automobile. Il est remplacé par une nouvelle construction en 1980.
Vue générale sur le pont de Puteaux, photographie « L’Abeille », début du XXe siècle, 2Fi1670, Archives de Puteaux
Le pont aujourd'hui
Vue sur le pont de Puteaux depuis les quais, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Quai de Dion-Bouton depuis le pont2 document(s).
Le quai National
A partir du milieu du XIXe siècle, de nombreuses usines s’installent sur le quai National. La proximité de la Seine favorise l’industrie et les échanges. Le quai est alors bordé d’arbres. On peut également y apercevoir un chemin de halage, utilisé aussi pour la promenade et la pêche. Aujourd’hui, le quai a pris le nom de l’usine automobile De Dion-Bouton et a été réaménagé pour la circulation moderne.
Quai National et la Seine, début du XXe siècle, 2Fi1246, Archives de Puteaux.
Le quai De Dion-Bouton aujourd'hui
Quai National et la Seine depuis le pont de Puteaux, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Résidence Victor Hugo2 document(s).
La résidence hier
La résidence Victor Hugo est la première résidence HBM (Habitation Bon Marché) destinée aux ouvriers et ouvrières. Elle est dessinée par l’architecte Auguste Labussière en 1921. La résidence est aujourd’hui toujours gérée par Office de l’Habitat de Puteaux.
Les maisons ouvrières de la rue Victor Hugo, photographie F. Testard, début du XXe siècle, 2Fi452, Archives de Puteaux.
La résidence aujourd'hui
La résidence Victor Hugo depuis l’angle des rues Victor Hugo et Charles Chenu, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Anatole France2 document(s).
Ancienne rue de Colombes
La rue Anatole France auparavant rue Sente de la Montagne des Rus et renommée en 1876, rue de Colombes. Elle est baptisée en l’honneur du l’écrivain Français en 1925. La rue est dans le prolongement de l’avenue Jean Moulin et s’arrête à la place Simone et Antoine Veil. Cette rue, qui longe le nouvel Hôtel de ville dans les années 1930, devient rapidement dynamique et attractive.
Rue Anatole France, début XXe siècle, 2Fi045, Archives de Puteaux.
Rue Anatole France aujourd'hui
Rue Anatole France, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Benoît Malon2 document(s).
Ancienne rue Poireau
La rue Benoît Malon existe depuis au moins le XVIIe siècle. Elle s’appelle alors la rue Poireau. L’origine du nom est inconnue. Est-ce dû à la culture de poireaux ? A la présence d’un commerce ? Ou encore à un personnage portant ce nom ? La rue est renommée en 1912 Benoît Malon, homme politique socialiste et fondateur à Puteaux de la société coopérative ouvrière « La Revendication ».
Rue Poireau, photographie P. Marmuse, début du XXe siècle, 2Fi061, Archives de Puteaux.
Rue benoît Malon aujourd'hui
Rue Benoît Malon près du square du Théâtre, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Bernard Palissy2 document(s).
Rue Bernard Palissy
En 1921, la ville de Puteaux achète des terrains rue Cartault et rue Bernard Palissy pour y construire des HBM (Habitations bon marché). Le projet est confié à l’architecte Auguste Labussière. Les résidences Cartault ouvrent en 1923. Elles se situent de part et d’autre de la rue Cartault.
Rue Bernard Palissy, début du XXe siècle, 2Fi069, Archives de Puteaux.
Rue Bernard Palissy aujourd'hui
Rue Bernard Palissy, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Cartault2 document(s).
Rue Cartault hier
La rue est une ancienne voie ouverte dès le milieu du XIXe siècle. Elle longe alors notamment l'usine Lorilleux et la gare. Cette ancienne sente de la Cahutte est renommée rue Cartault en 1871 en hommage au couple éponyme qui a légué à la ville de Puteaux une somme de 10.000 Fr pour aider des ouvrières souhaitant se marier. Les "rosières" sont choisies pour leur vertu et recoivent, sous des conditions très strictes, une dot. La dernière rosière est élue en 1931 et est couronnée en 1935.
Rue Cartault, photographie E. Malcuit, début du XXe siècle, 2Fi799, Archives de Puteaux.
Rue Cartault aujourd'hui
Rue Cartault, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue de l'Eglise2 document(s).
Rue de l'Eglise hier
La rue de l'Eglise est sans doute ouverte dès la construction d'une chapelle au XVIe siècle. La rue est aussi appelée la rue du Temple jusque dans les années 1850. Elle relie alors les quais à la rue Voltaire. Avec les travaux d'aménagement autour de l'église, la rue est raccourcie dans les années 1970 et relie aujourd'hui la place de l'Eglise à la rue Voltaire.
Rue de l’Eglise, à l’angle avec la rue Voltaire, photographie l’Abeille, début XXe, 2Fi1308, Archives de Puteaux.
Rue de l'Eglise aujourd'hui
Rue de l’Eglise, à l’angle de la rue Voltaire, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue des Bas Rogers2 document(s).
Croisement des rues des Bas Rogers et Paul Bert
La rue des Bas-Rogers est l’une des plus vieilles voies de Puteaux. Elle est déjà visible sur des plans du XVIIe siècle. Elle permet alors de rejoindre le Mont-Valérien. Son nom vient de l’ancien lieu-dit Le Bois Roger. Les numéros pairs de la rue sont à Puteaux, tandis que les numéros impairs se trouvent à Suresnes.
Rue des Bas-Rogers à l’angle de la rue Paul Bert, début du XXe siècle, 2Fi053, Archives de Puteaux.
Croisement aujourd'hui
Rue des Bas-Rogers à l’angle de la rue Paul Bert, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue des Fusillés de la Résistance2 document(s).
Ancien chemin du Mont Valérien
Cette rue est construite sur le tracé d'une ancienne sente qui mène au Mont Valérien. Elle devient rapidement une rue stratégique après la construction de la forteresse du Mont Valérien en 1843. D'abord appelée route des Calvaires et chemin du Mont Valérien, elle est renommée rue des Fusillés de la Résistance après la Seconde Guerre mondiale en hommage aux résistants exécutés par la Wehrmacht au Mont Valérien.
Rue des fusillés de la résistance à l’angle de la rue Pasteur, photographie P. Marmuse, début du XXe siècle, 2Fi1640, Archives de Puteaux.
Rue des Fusillés de la Résistance aujourd'hui
Rue des fusillés de la résistance à l’angle de la rue Pasteur, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Eugène Eichenberger2 document(s).
Croisement de la rue Eichenberger avec le boulevard Wallace
Anciennement rue des Ecoles, la rue prend le nom d’Eugène Eichenberger en 1902 en hommage à ce Putéolien, suite au don de sa veuve de plusieurs immeuble rue Godefroy et rue Jean Jaurès. Dans son testament, la Mme Eichenberger souhaite voir le nom de son époux donné à un hospice pour les personnes âgées, qui n'existe pas encore sur la commune. La municipalité choisit alors de rebaptiser la rue.
Rue Eugène Eichenberger, à l’angle avec le Boulevard Richard Wallace, photographie P. Marmuse, début du XXe, 2Fi1982, Archives de Puteaux.
Croisement aujourd'hui
Rue Eugène Eichenberger, à l’angle avec le Boulevard Richard Wallace, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Fernand Pelloutier2 document(s).
Ancienne rue Fernand Pelloutier
Ancienne rue de Denain, la rue Fernand Pelloutier longe les rails jusqu’à la gare de Puteaux. La construction dans les années 1930 de l’école ainsi que la piscine Marius Jacotot apporte beaucoup de rythme et de passage dans la rue.
Rue Fernand Pelloutier, devant le pont, début du XXe, 2Fi1695, Archives de Puteaux.
Rue Fernand Pelloutier aujourd'hui
Rue Fernand Pelloutier, devant le pont, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Francis de Pressensé2 document(s).
Croisement rue Francis de Pressensé et rue Ampère
La rue est à l'origine l'allée du château de Puteaux. Celui-ci est constuit en 1698 et démoli suite à un incendie en 1881. La rue prend d'abord le nom de rue du Château, puis de Francis de Pressensé, en hommage à l'homme politique en 1924. Aujourd'hui, le conservatoire de musique se tient à l'emplacement du château.
Rue Francis de Pressensé à l’angle de la rue Ampère, photographie P. Marmuse, 2Fi1640, début du XXe siècle, Archives de Puteaux.
Croisement aujourd'hui (conservatoire)
Rue Francis de Pressensé, vue sur le conservatoire Jean-Baptiste Lully, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Monge2 document(s).
Rue Monge hier
La rue est l'ancienne sente des Champs Moisiaux qui est présente dès le début du XIXe siècle. Elle est peu à peu viabilisée à mesure de l'urbanisation du lieu-dit. Elle est renommée rue Monge en 1900 en hommage au mathématicien Gaspard Monge.
Rue Monge vue du pont sur les rails, début XXe siècle, 2Fi950, Archives de Puteaux.
Rue Monge aujourd'hui
Rue Monge vue du haut de la rue, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Parmentier2 document(s).
Rue Parmentier hier
Construite aux alentours des années 1860, la rue Parmentier est d’abord simplement un lien entre le quai et la rue Voltaire. Après la libération des terrains de l’ancien cimetière rue Gerhard dans les années 1870, la rue Parmentier est agrandie jusqu’à la rue Auguste Blanche.
Rue Parmentier au croisement de la rue Gerhard, photographie A. Linol, début XXe siècle, 2Fi1970, Archives de Puteaux.
Rue parmentier aujourd'hui
Rue Parmentier au croisement de la rue Gerhard, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Paul Bert2 document(s).
Rue Paul Bert hier
La voie est ouverte en 1889 entre la rue Victor Hugo et la rue Eugène Eichenberger. Elle s’étend de la rue des Bas-Rogers jusqu’au Boulevard Richard Wallace. Elle prend le nom du professeur de physiologie et ministre de l’instruction des cultes sous Léon Gambetta, Paul Bert, en 1890.
Rue Paul Bert, devant l’angle avec rue du Bicentenaire, photographie E. Malcuit, début du XXe siècle, 2Fi100, Archives de Puteaux.
Rue Paul Bert aujourd'hui
Rue Paul Bert, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Saulnier2 document(s).
Rue Saulnier hier
La rue Saulnier est ouverte en 1844 sur des terrains appartenant à la famille éponyme. Elle est nommée en l’honneur de l’ancien Maire de Puteaux, Jean Saulnier (1800-1816).
Rue Saulnier, devant l’angle de la rue Henri Martin, photographie E. Malcuit, début du XXe siècle, 2Fi130, Archives de Puteaux.
Rue Saulnier aujourd'hui
Rue Saulnier, devant l’angle de la rue Henri Martin, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Rue Voltaire2 document(s).
Ancienne rue Voltaire
Auparavant nommée rue de Saint-Denis jusqu’en 1881, la rue Voltaire est l’ancienne grande rue de Puteaux. Sous le règne de Louis XIV, le surintendant de la musique, Jean-Baptiste Lully, habite aux numéros 58-60 de cette rue. Ce domicile lui sert alors de relais lors de ses aller-retours entre Paris et Versailles.
Rue Voltaire au croisement avec la rue Pitois, photographie F. Testart, début du XXe siècle, 2Fi146, Archives de Puteaux.
Rue Voltaire aujourd'hui
Rue Voltaire au croisement avec la rue Pitois à côté du jardin du sud, photographie Archives de Puteaux, 2021.
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Théâtre de Puteaux1 document(s).
Théâtre de Puteaux - 5 rue Henri Martin
D'abord appelé "Salle des fêtes", puis "Théâtre des Hauts-de-Seine" et enfin "Théâtre de Puteaux", le bâtiment ouvre ses portes pour la première fois en mars 1921.
Pour en savoir plus : Le Théâtre de Puteaux ; Le Théâtre a 100 ans !
Théâtre de Puteaux, carte postale, années 1920, AMP, 2Fi913.
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Usine De Dion-Bouton1 document(s).
Usine automobile De Dion-Bouton - 36 quai National
L'usine automobile De Dion-Bouton s'installe à Puteaux dans les années 1880. Elle est l'une des premières sociétés à se lancer dans la production industrielle de voitures.
Pour en savoir plus : histoire industrielle de Puteaux
De Dion-Bouton, sortie des ouvriers, carte postale, début du XXe siècle, AMP, 2Fi524.
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Usine Morane-Saulnier1 document(s).